Les Dudek: Say No More [Vinyl LP] [Stereo]

Love these two CDs . Had the lps in the 70s great to have them on CDs . Excellent items and service and price. No damage in shipping ups is doing a good careful job

I've never understood why Les Dudek never made it on his own. He played with everyone from The Allman Brothers (Jessica, Ramblin' Man) to Steve Miller Band (Sacrifice) back in the late seventies. His lead guitar skills are impressive, to say the least and I've always felt he wrote really catchy, accessible songs that tended to rock your socks off, while the man's guitar shredding melted your face. Say No More has been a prized CD in my collection for decades, so to find the rest of his work from back in the day so easily available simply made my day. And the other albums did not disappoint!An underappreciated Southern boogie guitar god!

I'm a pretty big Dudek fan, and combining these two discs into one set is pure genius. His best two early works, in my opinion, in one? Who wouldn't love it?These cover the gamet of Les' extraordinary talents, combining jazzy riffs with bluesy stretches into southern rock, with a few well-written rock standards thrown in to balance out the couple of mellow tunes.I've had both albums on vinyl since they were released, but they haven't aged well due to lots of playing time under sometimes not-so-great conditions, so having them both on CD makes me happy. Now if someone would just see fit to press a bunch of DFK discs, I'd really be happy!JD

I thoroughly enjoyed both of these. The self-titled debut is great, but a little raw. "Say No More" is my favorite of the Les Dudek albums I've heard. The blues and Jimi Hendrix influence are there, but I really love the adventurous fusion tunes like "One to Beam Up" and "Zorro Rides Again". If you like things like Sea Level or the Dregs, I thinks this will probably appeal to you also.

I bought the vinyl of these when they were new. I listened to them until they were used up. I've had snippets of these two records stuck in my head for 30 years. I ordered this, listened to them and had them really stuck in my head for a month. Thanks, Les. Carry on.

A long time favorite on vinyl, finally offered on CD. Still was not available for MP3 download. I had to upload to Amazon music player.

This is great 70's rock. Dudek has worked with everyone from steve miller to the allman bros. as a hired gun. But his solo records did not get the credit they deserved. I love these cd's and I think you will too.

Had these LPs when they came out. Glad to have them on CD as well . Great CDs!!

These two albums make pretty strange bedfellows.Dudek's epononymous first album sounds very like The Allman Brothers from that period - which is no surprise given that he played with Dickey Betts and co-wrote The Allman's biggest (only?) hit, Jessica. City Magic, Sad Clown and What A sacrifice are all pretty good tunes in that mould,but there was a funkier side to Dudek that is evidenced by the fact that Boz Scaggs produced the album.Unfortunately, most of the "funkier" numbers are fairly poor and jar quite badly with the more soulful white man's blues of the rockier numbers.Say No More is actually the better, though probably less well known,album. Dudek finds a more sympathetic producer in Bruce Botnick and the first 3 tracks could have come straight from a Johnny Guitar Watson album circa Ain't That A Bitch/Funk In The Call Of Duty. In fact more like a Boz Scaggs album than the one produced by Scaggs.The mid to late Seventies were probably the peak years for "Blue eyed Soul" with people like Dudek, The Cate Brothers,AWB,Scaggs and others finding acceptance from both black and white audiences based entirely on their music.This is defintely the area Dudek should have stuck with,but unfortunately as with his first album there are several poor tracks,only in this case they are the rockier numbers.You could make a fairly decent funk album out of these two cds,or an equally good blues/rock album it's just a shame he tried for both on each album.So,overall a little disappointing and one to program the cd player for to get the best of both worlds.Nevertheless,at under a tenner for 2 cds they make a decent purchase for any Dudek or Blue Eyed Soul fan or indeed any fans of Brothers And Sisters era Allman Brothers Band.

The Allmans, Boz Scaggs? Mmmm, dont think so. Wonderful tunes and playing from Mr Dudek.

Nice to have these first two Les Dudek CD's in one jewel jacket. Excellent player remember him so well from his playing with The Allman Brothers Band Boz Scaggs and Steve Miller and these two sure don't disappoint.

Nous sommes le 9 juillet 1968, vers 21 heures, dans la somptueuse demeure que le prolétariat tchécoslovaque a mise à la disposition du glorieux Premier secrétaire du Parti communiste, Alexander Dubcek. Entouré de ses conseillers, celui-ci s'apprête à clore la réunion consacrée aux récents mouvements de la jeunesse, lorsque son fils cadet, le jeune Ludek Dubcek, fait irruption dans la salle. Le père se rend immédiatement compte que quelque chose ne va pas. En effet, au lieu du costume traditionnel moldave en peau de chèvre (cadeau de l'ambassadeur d'une république frère) qu'il porte habituellement, Ludek arbore un jean Levi's et un T-shirt. Devant l'assistance médusée, il déclare tout à trac, et sans en manifester le moindre : « Je serai Duane Allman, ou rien ».Rompu aux arcanes du pouvoir, et bien qu'ignorant tout des Allman Brothers (qui n'ont d'ailleurs pas encore sorti de disque) Dubcek imagine sans peine le parti que ses adversaires politiques pourraient tirer de l'incident. Sa décision est vite prise. Ludek est officiellement envoyé en camp de vacances au bord de la Caspienne. Quant aux participants à la réunion, ils disparaissent tous, victimes, qui d'un accident de ZIL, qui de la chute inopinée d'un radiateur en fonte, qui de la maladresse d'un soldat nettoyant un canon de 75 à proximité de leur domicile. De malveillants historiens à la botte de l'impérialisme américain prétendent que Dubcek en aurait également profité, sous de fallacieux prétextes, pour se débarrasser concurremment de sa belle-mère incontinente et d'un yak mongol (également offert par une république frère) qui lui ruinaient ses appartements, particulièrement ses tapis, cadeau d'une république...etc (voir plus haut).La consultation des archives du KGB nous permet aujourd'hui de rétablir la vérité, non à propos de Dubcek, dont tout le monde se contrefiche, mais de son fils. Ludek Dubcek n'a jamais rejoint les côtes de la mer Caspienne, mais celles de Floride, où il fut confié à un vague cousin de la famille, et élevé avec les fils de ce dernier. Pour ressembler à son modèle, il s'enferme des heures dans sa chambre, s'astreint à de fastidieux exercices guitaristiques, et se laisse pousser cheveux et moustaches comme l'illustre la pochette du CD. Convaincu du bien-fondé de la prédiction, il attend son heure. Elle ne tardera plus.Le 29 octobre 1971, Duane Allman se tue dans un accident de moto près de Macon, en Georgie. Ludek, atterré, se rend aussitôt sur place. Au milieu de centaines d'apprentis guitaristes, il va essayer de retirer la Gibson Les Paul du défunt, miraculeusement réapparue quelques jours plus tard et désormais enfoncée jusqu'à la dernière frette dans un bloc de granit. Un malotru proche du quintal lui prend sa place et pousse l'irrespect jusqu'à essayer de dégager l'épée grâce à un attelage de mules. Conspué et menacé d'un mauvais sort par les assistants, il doit s'enfuir sous les quolibets. Il faudra attendre les années 1990 pour voir réapparaître ce triste personnage que les lecteurs les plus assidus auront sans peine reconnu : Warren Haynes.Ludek s'avance alors et sans effort apparent, retire la guitare du bloc de pierre. Les accords de Statesboro Blues retentissent alors dans toute la forêt et la foule se prosterne, à l'exception de Dickey Betts qui se dit que décidément il faudrait qu'il revienne à une consommation plus modérée de Jack Daniel's.Ainsi adoubé, Ludek change de nom. Les (pour la guitare) Dudek (par respect pour sa famille) est «musician born again ». Il est embauché pour l'album Brothers and Sisters, des Allman Brothers, dans lequel il figure sur Ramblin Man et Jessica, titres de Betts auquel son jeu l'apparente. Malheureusement pour lui, le groupe s'en va à vélo (sauf Berry Oakley, qui s'obstine à faire de la moto et qui se tue lui aussi) et les Allman rentrent en hibernation pour quelques années. Dudek fait alors des piges pour Boz Scaggs et Steve Miller, notamment, avant de se décider à se lancer en solo. C'est sous cette forme que se déroulera sa (maigre et assez confidentielle) carrière, sauf pour l'inutile et désastreuse parenthèse du groupe DKK, pour Dudek/Finnigan/Krieger.Les deux présents albums (ses premiers, datant de 1976 et 1977) réédités par BGO sont indiscutablement les meilleurs, le reste ne valant pas tripette. Passé l'écueil d'une pochette à vomir, dont les groupes du Sud semblent coutumiers, on découvre deux excellents disques que les connaisseurs rangeront à côté de ceux de Dickey Betts. Les Dudek et Say no More, s'ils manquent d'unité, offrent un remarquable florilège de la musique du Sud des USA au milieu et à la fin des années 70. On y retrouve les Allman, en groupe ou en solo (Sad clown évoque Midnight Rider, sur Laid Back), bien sûr, Wet Willie (Jailabamboozle qui fait penser à Baby Fat), ou Steve Miller (qui reprendra pour son propre compte What a sacrifice). Une curiosité : deux membres de Toto, Jeff Porcaro et David Paich participent à la fête sans trop la gâcher. Tested ans approved by SM.Merci qui ?

I had been looking for this CD (at a reasonable price) for 30 years! I am very pleased!